Marguerite Larocque

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Marguerite Larocque

Also Known As: "Marguerite Larocque"
Birthdate:
Birthplace: Red River Settlement, Manitoba, Canada
Death: June 25, 1872 (91)
St Anne, Kankakee, Illinois, United States
Immediate Family:

Daughter of O Larocque/Rocquebrune; Oliver Charles Charles Larocque; Madeline Piche and Madeleine Larocque
Mother of Reine Lagimodière; Jean-Baptiste Elzeard Lagimodiere, III; Pauline Harrison and Marie Rose Lingan
Sister of Jean Gabourie; Augustin Gaboury; Judith Bastien; Pierre Gaboury; Marie-Madeleine Juneau and 12 others
Half sister of Joseph Gaboury

Managed by: Charlotte de Celles
Last Updated:

About Marguerite Larocque

http://on.aol.com/video/learn-about-marie-anne-lagimodiere-276165353

History of Marie-Anne Gaboury Lagemodiere

Lifetime Adventures of Louis Riel’s Grandmother

May 7, 2009 Kathleen Airdrie

Marie-Anne Gaboury Lagemodier, said to be the first white woman resident in western Canada, survived horrendous journeys and life-threatening situations

Marie-Anne Gaboury was born in Maskinonge, Quebec, in the diocese of Trois-Rivieres in 1780, fifth child of Charles Gaboury and Marie-Anne Tessier. At age twelve, following her father’s death, she entered domestic service for the parish priest. During that time she received an education in French, Latin, and arithmetic.

Montreal to Winnipeg by Canoe and Portage

Marriage to Hudson’s Bay Company (HBC) fur trader Jean-Baptiste Lagemodiere in 1806 brought about drastic changes in her life. Marie-Anne accompanied him on an arduous canoe and portage journey from Montreal. After arriving at the junction of the Red and Assiniboine Rivers (present-day Winnipeg), they continued on to an encampment near Pembina, North Dakota. The first of their eight children was born there during that winter

In the spring of 1807, they arrived at Cumberland House, the HBC’s first fur trading post in the interior. The young family then travelled to an area near present-day Edmonton and remained in the northern region from 1807 until 1811. Living a semi-nomadic lifestyle with other French-Canadian trappers and their Native wives, Marie-Anne gave birth to several more children. She also accompanied her husband on many hunting/trapping expeditions.

Red River Settlement

Lord Selkirk’s 1812 decision to establish a Red River Colony for Scottish settlers quickly became a contentious issue. The North-West Company saw the plan as a scheme to monopolize the fur trade. Marie-Anne and Jean-Baptiste avoided the violent confrontations that ensued before he was asked by a HBC representative to carry dispatches to Lord Selkirk in Montreal. During the 1815-1816 winter, Jean-Baptiste successfully accomplished the task. On his return journey, he was captured by Native people who were acting for the North-West Company. He was prisoner at Fort William until Lord Selkirk regained the location in August 1816.

==Saint Boniface, Manitoba==

For his services, Lagemodiere was given a land grant where he built a log house in 1816 on the Red River’s east bank at the Seine. The family settled down to become successful homesteaders. One of their children born there was Julie (1822) who became the mother of Louis Riel, the Metis leader. Jean-Baptiste died at age 78 on September 7, 1855 at St. Boniface, Manitoba.

Marie-Anne Gaboury Lagemodiere died December 14, 1875 at Saint Boniface, Manitoba. The woman who travelled by all possible methods and suffered many privations, lived in isolation or within crowds, in tepees, and forts. She survived trips where she encountered mosquito swarms, buffalo stampedes, and terrible storms. She learned the languages of the Cree and Ojibway people as well as their medicines and survival tactics. She lived to see western Canada’s growth and the efforts of her grandson Louis Riel who is recognized as a founding father of Manitoba

Sources:

Marie-Anne: The Extraordinary Life of Louis Riel’s Grandmother by Maggie Siggins, McClelland & Stewart, (2008)

About Marguerite Larocque (Français)

http://40.media.tumblr.com/9f71cc3122f91e7e6e8138538327289e/tumblr_... =dollards bills

https://www.youtube.com/watch?v=s0QYE1XkRB8 Marie Anne Gaboury "Ou tu vas, j'irai."

GABOURY, MARIE-ANNE (Lagemodière), première Blanche à s’établir dans l’Ouest, grand-mère de Louis Riel*, née le 2 août 1780 à Maskinongé, dans le diocèse de Trois-Rivières, cinquième enfant de Charles Gaboury (Gabourie) et de Marie-Anne Tessier (Thésié), décédée le 14 décembre 1874 à Saint-Boniface, Man.

Après la mort de son père, le 7 décembre 1792, Marie-Anne Gaboury devint domestique chez le curé de Maskinongé, où elle aidait la ménagère. Elle y demeura jusqu’au 21 avril 1806, alors qu’elle épousa Jean-Baptiste Lagemodière (parfois orthographié Lagimonière, Lajimodière et Lagimodière), originaire de Maskinongé et trafiquant de fourrures dans les territoires de la Hudson’s Bay Company.

Aussitôt après son mariage, la jeune femme se rendit en canot avec son mari de Montréal au fort Gibraltar, au confluent de la rivière Rouge et de la rivière Assiniboine, dans la ville actuelle de Winnipeg. Longue et pénible pour une jeune femme, cette expédition ne prit fin qu’à l’automne lorsqu’elle arriva dans un campement de Métis sur les bords de la rivière Pembina. C’est au fort Daer (Pembina, Dakota du Nord), qu’elle donna naissance à son premier enfant le 6 janvier 1807. Parce que, ce même jour, on célébrait la fête religieuse de l’Épiphanie, la petite fille fut appelée Reine, en l’honneur des rois mages.

Le printemps suivant, les Lagemodière quittèrent le fort Daer pour la vallée de la Saskatchewan. À Cumberland House, Marie-Anne et sa fille furent accueillies comme les premières femmes blanches à pénétrer aussi loin à l’intérieur des territoires de la compagnie. À la fin d’août, la famille se retrouva finalement dans la région de la Saskatchewan-Nord et y demeura de 1807 à 1811. En 1810, Alexander Henry fils, fit la connaissance de Lagemodière et de sa famille au ruisseau Paint (rivière Vermilion). À cette époque, Marie-Anne fit l’expérience des épreuves et des privations qui étaient le lot des pionnières, en accompagnant son mari dans les nombreuses expéditions de chasse qui constituaient, dans l’Ouest, le mode de vie du coureur de bois indépendant. Elle eut durant ces années-là plusieurs autres enfants.

Quand la nouvelle se répandit qu’une colonie de peuplement sous la direction de lord Selkirk [Douglas*] allait s’établir en permanence le long de la rivière Rouge et de la rivière Assiniboine, les Lagemodière retournèrent à la rivière Rouge. Ils y parvinrent vers la fin d’août 1811 mais, la colonie n’étant pas encore établie, ils continuèrent jusqu’au fort Daer. Ils revinrent le printemps suivant à la colonie nouvellement fondée de la Rivière-Rouge. Voyant dans son établissement un complot de la Hudson’s Bay Company en vue de paralyser son commerce, la North West Company décida la destruction de la colonie. Sans y prendre part, Marie-Anne et son mari furent témoins de ce conflit entre les Nor’Westers et les colons de Selkirk. Cependant, en octobre 1815, Colin Robertson*, représentant de la Hudson’s Bay Company dans cette région, impatient de communiquer avec lord Selkirk, engagea Jean-Baptiste Lagemodière pour porter des dépêches à Montréal. Le Canadien fit le voyage à pied et seul, durant l’hiver de 1815–1816. Il remplit avec succès sa mission qui lui fit parcourir plus de 1 800 milles. Pendant son voyage de retour, il fut cependant fait prisonnier par des Indiens mandatés par la North West Company. On l’enferma au fort William et il ne fut délivré qu’en août 1816, lors de la prise du fort par lord Selkirk.

Pendant ce temps, Marie-Anne avait été forcée de se réfugier chez les Indiens. Elle retrouva son mari grâce à l’arrivée de Selkirk, en septembre 1816. Lagemodière reçut, en récompense des services rendus, la concession d’une terre située entre la rive est de la rivière Rouge et la Seine, à proximité de la ville actuelle de Winnipeg. Il y bâtit une maison en bois où Marie-Anne et lui vécurent plusieurs années entourés de leur famille grandissante. Ils eurent cinq autres enfants, dont Julie, en 1822, qui devait être la mère de Louis Riel.

Marie-Anne vécut jusqu’à l’âge de 95 ans tandis que son mari était mort le 7 septembre 1855. Elle fut souvent privée des agréments et des nécessités de la vie, mais elle demeure un exemple de générosité et de don de soi. Elle vécut assez longtemps pour être témoin des progrès, en nombre et en puissance, de la colonie de l’Ouest, dont elle avait été la pionnière, et pour voir son petit-fils devenir le père de la province du Manitoba.

George F. G. Stanley

AJTR, Registre d’état civil.— Archives de l’archevêché de Saint-Boniface (Man.).— Archives de la Société historique de Saint-Boniface (Man.).— HBRS, II (Rich et Fleming) : 229.— L’Écho de Louiseville, 4 févr. 1970.— Morice, Dict. hist. Can. et Métis, 116s.— J. M. Gray, Lord Selkirk of Red River (Toronto, 1963), 124–126, 136, 170, 273, 284.— Georges Dugas, La première Canadienne du Nord-Ouest ou biographie de Marie-Anne Gaboury, arrivée au Nord-Ouest en 1806, et décédée à Saint-Boniface à l’âge de 96 ans (Montréal, [1883]).

Bibliographie générale

© 1972–2014 Université Laval/University of Toronto

http://www.biographi.ca/fr/bio/gaboury_marie_anne_10F.html

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Marguerite Larocque's Timeline

1780
August 2, 1780
Red River Settlement, Manitoba, Canada
1807
January 6, 1807
Fort Pembina, North Dakota, United States
1808
August 15, 1808
Fort Des Prairie, Edmonton, Alberta, Canada
1813
December 2, 1813
Rivière-Rouge, Manitoba, Canada
1847
January 4, 1847
1872
June 25, 1872
Age 91
St Anne, Kankakee, Illinois, United States
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