Baron Raoul de Tancarville, chamberlain to William the Conqueror

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Baron Raoul de Tancarville, chamberlain to William the Conqueror

Also Known As: "Ralph", "Radulf"
Birthdate:
Birthplace: Tancarville, Normandy, France
Death: circa 1080
Tancarville, Normandy, France
Immediate Family:

Son of Gerald II, seigneur de Tancarville and Hélissende d'Abbetot
Husband of Agnes or Avice de Stigand
Father of Guillaume I de Tancarville, chamberlain of Normandy; Raoul de Tancarville and Neel de Tancarville
Brother of Gérold de Roumare, Earl of Lincoln; Guillaume FitzGerald Tancarville; Amaury Raoul d'Arbitot and Rabel de Tancarville

Occupation: Chamberlain to the Duke of Normandy
Managed by: Private User
Last Updated:

About Baron Raoul de Tancarville, chamberlain to William the Conqueror

Raoul I FitzGerald le Chamberlain de la Ville Tancrède[9] (c. 1008-c. 1080*) "le Chief Chamberlain et le Magister de la duc de Normandie". Raoul was the son of Gerald II and Hélisende. The earliest recorded use of the patronymic "FitzGerald", is that of Raoul fitz Gerald le Chamberlain, a Norman baron, educator of the young William, future Conqueror of England.[10][circular reference] Raoul is recorded as an officer of William's father, Duke Robert the Magnificent, whose fleet he commands in 1029,[11] and being of the trusted few, and infamous in knightly accomplishments, the young duke William is placed in the Chamberlain's household, shortly after 1040, for his protection and education in the skills of knighthood. Raoul married Avicia Stigand de Mézidon, the likely niece of Odonis Stigandus.[12]

In the 11th century, the Chamberlain's family, headed by Raoul FitzGerald, having held the honor of Tancardi Villa for well over 100 years at this point, apparently divided his time between the château fort thereon, with his father Geraldus II, and that of their Boscherville mansion at St-Georges. Raoul is recorded as having updated both the château fort and the church at St-Georges in circa 1050.[13]

"... In the quite numerous acts where Raoul Chamberlain, who extended his career until about the year 1080 is mentioned, the name of Tancarville is never attached to his. Raoul is simply referred to by his title, or his parentage; He is Raoul le Chamberlain or Raoul fitz Gerald ..."[14]

* Raoul, "commanding the fleet" in 1029,[15] would suggest he must have been "of age" by this point ... A charter giving the Church of Mireville to Jumièges shows that he was living in 1079.[16]

*https://en.wikipedia.org/wiki/Tancarville_family


a) RAOUL . Chambellan de Normandie. A charter dated to [1034] records that “Hunfridus de Vetulis” donated property to Préaux Saint-Pierre, noting the presence of “...Radulfus camberarius filius Geraldi...”[1227]. same person as...? RAOUL [I] de Tancarville . The office held by both individuals suggests that they may have been the same person. Another possibility is that the earlier Raoul was the father of the later. The Chronique de Normandie, based on le Roman de Rou, names "le sire de Tancarville" among those who took part in the conquest of England in 1066[1228]. He is named in the source which names his wife and children, quoted below: Chamberlain of William I King of England.

m AVICE, daughter of ---. Guillaume chamberlain confirmed the donation to the abbey of St Georges de Bocherville by Raoul, chief chamberlain of William I King of England, and his sons Raoul, Nigel and Guillaume, and their mother Avicia, with the consent of his sons Rabel and Robert and Lucy, recorded in a charter of Henry I King of England dated 1114[1229]. It is possible that she was the sister of Eudes Stigand, as shown by the charter of Henry I King of England, dated 1129, which confirmed an earlier donation to the abbey of Sainte-Barbe by "Odo Stigandus", at the request of "Guillelmi camerarii de Tancarvilla [%E2%80%A6nepos supradicti Odonis Stigandi] et Rabelli filii sui"[1230].

Raoul [I] & his wife had three children: 

*i) RAOUL de Tancarville . ...

  • ii) NEEL de Tancarville . ...
  • iii) GUILLAUME de Tancarville (-1129). ... ... ...





W i k i S p a m


Famille de Tancarville

from French wikipedia

La famille de Tancarville est une famille normande, qui a porté de manière héréditaire le titre de chambellan de Normandie et qui tire son toponyme du village de Tancarville.

La famille du chambellan, dont le siège principal est dans un premier temps leur manoir de Boscherville1, semble entrer en possession de l'honneur de Tancarville, compris sur la forêt de Lillebonne, réserve ducale, par ses services rendus aux ducs, dans la deuxième quart du xie siècle2. Le nom de Tancarville est associé pour la première fois en 1103 à la famille avec « Willelmus de Tancarvilla »3.

Raoul (I) est officier du duc Robert le Magnifique, dont il commande la flotte4. Il conduit en 1029 la flotte que Robert avait projeté contre Knut, roi d'Angleterre, et qui échoue.

Rabel de Tancarville reste le seul chambellan en chef de Normandie et d'Angleterre jusqu'à ce que le roi Henri Ier d'Angleterre crée en 1133 5, un office héréditaire séparé pour l'Angleterre et le confie à Aubrey (II) de Vere et ses héritiers6.

Bien que les Tancarville soient proches du pouvoir, ils ont très peu de terres en Angleterre. Pour Kathleen Thompson, c'est parce qu'ils font partie des Normands qui « ne trouvent aucun intérêt à l'affaire anglaise »7. Ils tiennent par contre quatre-vingt-dix fiefs en Normandie7.

Vers 1316, la maison de Melun (de), par Jean Ier, vicomte de Melun (de) et seigneur de Montreuil-Bellay, s'allient avec les Tancarville dont Jeanne de Tancarville est la dernière héritière8.

Membres notables de la famille

  • Gérald, seigneur de Tancarville9
  • Raoul (-vers 1066), son fils9, chambellan de Normandie depuis au moins 10359. Il est constamment présent à la cour ducale jusqu'environ 10669. Il fit une donation à la collégiale de Saint-Georges de Boscherville10. Il semble disparaître avant 1066, car son fils est mentionné comme ayant hérité de son office, qui entre-temps est devenu une dignité héréditaire9.
  • Raoul († 107911), chambellan depuis avant 10669. Wace mentionne un « sire de Tancarville » comme participant à la conquête normande de l'Angleterre dans son Roman de Rou10. Il n'existe aucun indice montrant que Raoul ait jamais mis les pieds en Angleterre11. Mais aucun office de chambellan en chef n'a été créé en Angleterre durant le règne du Conquérant. D.C. Douglas en conclut que Raoul devait avoir un représentant en Angleterre quand le Conquérant s'y trouvait11. À cette époque, le chambellan en chef s'occupe des finances royales et ducales, et notamment de la collecte des impôts, comme il le faisait avant la conquête11
  • Guillaume (I) de Tancarville (vers 1075-1129), fils de Raoul, chambellan en chef de Normandie et d'Angleterre12. Il semble certain qu'il est le chambellan du duc Robert Courteheuse, puis celui de son frère Henri Beauclerc, après sa victoire à la bataille de Tinchebray (1106)13. Il est un proche conseiller du roi Henri Ier d'Angleterre14,15. Il est un fréquent témoins de ses actes, et exerce aussi la fonction de juge16. Considéré comme un seigneur durablement fidèle au roi par Ordéric Vital, il participe à ses côtés au siège du château d'Eu en 108917. Il participe à la bataille de Brémule (1119) aux côtés du roi d'Angleterre contre le roi de France lors d'une rencontre fortuite dans le Vexin18. D'après Henri de Huntingdon, c'est lui qui commande la force qui capture le rebelle Galéran IV de Meulan en 1124 à Bourgtheroulde. Toutefois, le chroniqueur normand Orderic Vital ne le mentionne pas dans son récit de cet événement19. Il fonde l'abbaye de Saint-Georges de Boscherville (vers 1112/1113), qui remplace la collégiale fondée par son père. Grâce à son patronage, elle attire un grand nombre de donation, notamment celle du roi Henri Ier qui lui donne le port de Bénouville20. Celle-ci devient le lieu de sépulture de la famille. Il épouse Mathilde d'Arques, héritière d'une puissante famille21.
  • Lucie, fille du précédent. Elle épouse Guillaume de Vernon, seigneur de Vernon et de Néhou et apporte en dot les fiefs de Saint-Floxel et de Vaudiville (aujourd'hui un hameau de Saint-Floxel)22, et peut-être le fief de Gonneville-sur-Honfleur 23.
  • Rabel de Tancarville (vers 1090-après 1137), fils de Guillaume (I). Il hérite de la charge de chambellan de Normandie de son père24. Toutefois, il n'existe aucune preuve qu'il ait exercé cette fonction durant le règne d'Henri Ier d'Angleterre16. Orderic Vital mentionne qu'il débarque de la Blanche-Nef juste avant son départ, car il réalise qu'il y a trop de gens à bord25. Il échappe ainsi au désastreux naufrage (1120). Après que les barons normands ont échoué a confier le duché au comte Thibaut IV de Blois, Rabel fortifie ses puissants châteaux, s'empare de la forteresse ducale proche de Lillebonne, et refuse de reconnaître Étienne d'Angleterre pour une raison inconnue24. En 1137, Étienne débarque dans l'ouest de la Normandie, bien décidé à en découdre avec Rabel, le chef des dissidants normands26. Il se dirige rapidement vers l'est, et s'empare sans avoir trop à s'employer de Mézidon, l'avant-poste de la seigneurie de Tancarville26. Il récupère ensuite la forteresse de Lillebonne, puis s'empare du château de Villiers26. Rabel décide qu'il est préférable de se soumettre rapidement et est reçu à la cour26. Il semble avoir été confirmé par Étienne dans ses fonctions de chambellan de Normandie 27,28. En 1127/1128, il remplace à Sainte-Barbe-en-Auge les chanoines séculiers par des chanoines réguliers venus d'Eu29.
  • Guillaume (II) de Tancarville (vers 1129-1193 en Palestine[r%C3%A9f. nécessaire]), dit « le Jeune », fils du précédent. Il part en croisade avec le roi Richard Coeur de Lion, où il trouve la mort.[r%C3%A9f. nécessaire] C'est dans sa maison qu'est élevé Guillaume le Maréchal30. Celui-ci a été recueilli à l'âge de deux ou trois ans, car Guillaume le chambellan est le cousin de sa mère30. Il reste en Normandie comme écuyer dans la maison militaire du chambellan jusqu'en 116630. Après une période de tension entre le chambellan, il quitte sa maison et part pour l'Angleterre30. Il se voit confier la fonction de gouverneur du Poitou occupée jusque-là par Patrick de Salisbury31. Guillaume de Tancarville, considéré comme le « père des chevaliers » par Gautier Map par l'importance de sa troupe, dispose d'un ost de 95 chevaliers32.
  • Raoul (II) de Tancarville (vers 1150-1204). Il accompagne son père en croisade et en revient. Les terres de la famille, possédées en Angleterre à Benstincton et Wilmundetor, sont confisquées par Jean-sans-Terre en 1204, suite à la conquête de la Normandie par Philippe-Auguste.[r%C3%A9f. nécessaire]
  • Guillaume (III) de Tancarville (vers 1152-1241 à Bouvines[r%C3%A9f. nécessaire]), fils du précédent. Il participe à la bataille de Bouvines, où il trouve la mort.[r%C3%A9f. nécessaire]
  • Guillaume (IV) de Tancarville (décédé après 1182), fils du précédent.
  • Éléonore, sa fille, est unie en 1205 par le roi Philippe-Auguste, qui souhaite rattacher durablement la Normandie au royaume de France, à Adam de Villebéon (+1325), fils de Gautier-le-Jeune, chambellan du roi 33.
  • Raoul (III) de Tancarville (vers 1180-), fils de Guillaume III. Il épouse Alix ou Aeliz alias Helissende de Meulan, dame de Sérans 34.
  • Alix de Tancarville, fille de Raoul III. Elle épouse en 1245 Robert Bertran, seigneur de Bricquebec, de Roncheville, de Fauguernon et de Fontenay-le-Marmion, connétable de Normandie 35.
  • * Guillaume (IV) de Tancarville (vers 1225-1264), fils de Raoul III. Il défendit le Mont-Saint-Michel et accompagna à la croisade Saint-Louis. Il épouse Aude d'Auffay.
  • Raoul (IV) de Tancarville (-après 1275), fils du précédent.
  • Guillaume (V) de Tancarville, frère du précédent.
  • Robert de Tancarville, frère des précédents. Il est reconnu pour la querelle dite du moulin enragé qui l'oppose à Jean de Harcourt, seigneur des châtellenies de Gravenchon et Lillebonne36 Engagé dans la bataille de Courtrai contre les flamands, il y trouve la mort. Il épouse Jeanne de Mauvoisin, dame de Rosny, 37 qui conclut après la mort de son mari avec Enguerrand de Marigny le mariage de leurs enfants. Le contrat de mariage unissant Guillaume (VI) de Tancarville et Isabelle de Marigny, sept ans chacun, est établi en octobre 1309 à Rouen 38. Le mariage est célébré en janvier 1310 à Vincennes39. Au même moment Jeanne de Tancarville, sœur de Guillaume (VI), épouse Jean (I) de Melun.
  • Guillaume (VI) de Tancarville. Il épouse le 23 octobre 1309 Isabelle de Marigny, fille d'Enguerrand de Marigny, ministre et chambellan du roi 40.
  • Jeanne de Tancarville, sœur et unique héritière du précédent. Elle épouse vers 1316 Jean de Melun, vicomte de Melun et seigneur de Montreuil-Bellay, chambellan de Normandie. Devenu veuf, ce dernier se remarie à Isabeau d'Antoing, veuve d'Alphonse de La Cerda. 41.

Liens

Château de Tancarville Chambellan de Normandie Généalogie de Tancarville Château de Tancarville

Notes et références

  1. ↑ Jacques Le Maho, Nicolas Wasylyszyn, Saint-Georges de Boscherville, 2000 ans, Rouen, GRAPC, 2008, 64 p ; (deuxième édition revue et complétée, 1ère édition 1998) ; p. 14.
  2. ↑ Jacques Le Maho, L'apparition des seigneuries chatelaines, Archéologie médiévale, tome VI, 1976, p.18.
  3. ↑ Monasticum anglicanum, tome 2, p.951, cité par Achille Deville.
  4. ↑ Jacques Le Maho, Nicolas Wasylyszyn, Saint-Georges de Boscherville, 2000 ans, 1998, p. 12.
  5. ↑ The Complete Peerage, vol. X, Appendix F, p. 53-55.
  6. ↑ Geoffrey H. White, « Financial Administration under Henry I » Transactions of the Royal Historical Society, Fourth Series, vol. 8 (1925), p. 56-78.
  7. ↑ a et b Kathleen Thompson, « L'aristocratie anglo-normande et 1204 », La Normandie et l'Angleterre au Moyen Âge, éditeurs : Pierre Bouet, Véronique Gazeau ; Colloque de Cerisy-la-Salle, 2003 ; publication du Centre de recherches archéologiques et historiques médiévales ; p. 179-187. (ISBN 9782902685141).
  8. ↑ Achille Deville, Histoire du château et des sires de Tancarville, éditeur : N. Périaux, 1834, 377 pages. Lire sur Google Books [archive], p.150
  9. ↑ a, b, c, d, e et f David C. Douglas, William the Conqueror : the Norman impact upon England, English Monarchs Series, University of California Press, 1967, p. 146. (ISBN 9780520003507).
  10. ↑ a et b « Famille de Tancarville », sur Charles Cawley's Medieval Lands
  11. ↑ a, b, c et d David C. Douglas, William the Conqueror: the Norman impact upon England, p. 291.
  12. ↑ Charles Warren Hollister, Amanda Clark Frost, Henry I, Yale English monarchs, Yale University Press, 2001, p. 221(ISBN 9780300088588).
  13. ↑ H. G. Richardson, « The Chamber under Henry II », The English Historical Review', vol. 69, no 273 (octobre 1954), p. 596-611.
  14. ↑ Henry I, p. 243.
  15. ↑ Henry I, p. 266.
  16. ↑ a et b C. Warren Hollister, John W. Baldwin, « The Rise of Administrative Kingship: Henry I and Philip Augustus », The American Historical Review, vol. 83, no 4 (octobre 1978), p. 867-905.
  17. ↑ Jacques Le Maho, « L'apparition des seigneuries châtelaines », 'Archéologie médiévale, tome VI, 1976, p.62.
  18. ↑ Henry I, p. 264.
  19. ↑ Orderic Vitalis (éd. Marjorie Chibnall), The Ecclesiastical History of Orderic Vital, Oxford Medieval Texts, Oxford University Press, 1978 ; traduction de Marjorie Chibnall ; vol. 6, (livres XI, XII, et XIII), p. 348-349. (ISBN 9780198222422).
  20. ↑ Henry I, p. 405.
  21. ↑ Fille du vicomte Guillaume, petit-neveu de la duchesse de Normandie Gunnor, épouse du duc Richard Ier
  22. ↑ Daniel Power, The Norman frontier in the twelfth and early thirteenth centuries, Cambridge University Press, 2004, p. 242 ; citant le Cartulaire de l'abbaye de Montebourg, B.n.F., Ms. lat. 10087, n°158-161.
  23. ↑ Catherine Powlett, Battle Abbey Roll (3 vol.), 1889, vol. III, p. 59-62, 212-216.
  24. ↑ a et b David Crouch, The reign of King Stephen, 1135-1154, Longman, 2000, p. 60. (ISBN 9780582226579).
  25. ↑ Orderic Vitalis, Marjorie Chibnall, The Ecclesiastical History of Orderic Vital, livre XII, p. 297.
  26. ↑ a, b, c et d The reign of King Stephen, 1135-1154, p. 63-64.
  27. ↑ Orderic Vitalis, Marjorie Chibnall, The Ecclesiastical History of Orderic Vital, livre XIII, p. 484.
  28. ↑ Dans une charte de donnation à Sainte-Barbe-en-Auge en 1137, le roi Étienne désigne Rabel comme « requisitione Rabelli de Tancardivilla camerarii mei ».
  29. ↑ Victor Mortet, Paul Deschamps, Recueil de textes relatifs à l'histoire de l'architecture et à la condition des architectes en France au Moyen-Âge: XIe-XIIIe siècles, Éditions du Comité des travaux historiques et scientifiques, 1995, 1100 p. [p. ?]
  30. ↑ a, b, c et d David Crouch, « Marshal, William (I), fourth earl of Pembroke (c.1146–1219) », Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, Sept 2004; édition en ligne, mai 2007.
  31. ↑ Thomas K. Keefe, « King Henry II and the Earls: The Pipe Roll Evidence », Albion: A Quarterly Journal Concerned with British Studies, vol. 13, no 3 (1981), p. 191-222.
  32. ↑ D'après les Infeodationes baronum de 1172, il en disposait de 94 3/4, cité par Crouch.
  33. ↑ André de Moura, Généalogies: 30000 ancêtres de Henri d'Orléans, comte de Paris, 1908-1999, sur 41 générations et à travers 1200 lignages, Paris : L'Harmattan, 2001, p. 431, n° 25-1529 et 25-1530.
  34. ↑ André de Moura, Généalogies: 30000 ancêtres de Henri d'Orléans, comte de Paris, 1908-1999, sur 41 générations et à travers 1200 lignages, Paris : L'Harmattan, 2001, p. 393, n° 24-1663 et 24-1664.
  35. ↑ Gustave Saige, Cartulaire de la seigneurie de Fontenay-le-Marmion provenant des archives de Matignon, Monaco : imprimerie de Monaco, 1885, xxxi et p. 173 : « Acte de constitution de dot par Guillaume, chambellan de Tancarville à Robert Bertran, époux d'Alix de Tancarville, sa soeur » [1245, latin, p. 173-176] d'après le Cartulaire de Bricquebec, Caen, Bibliothèque municipale, collection Mancel, fol. 1. [extrait : Sciant omnes... quod ego Guillelmus camerarius de Tanquarville, miles... dedi et concessi Roberto Bertran, militi... cum Aelicia sorore mea in libero matrimonio..].
  36. ↑ Raymond Cazelles, La société politique et la crise sous Philippe de Valois, Librairie d'Argences, 1958, 495 p.
  37. ↑ André de Moura, Généalogies: 30000 ancêtres de Henri d'Orléans, comte de Paris, 1908-1999, sur 41 générations et à travers 1200 lignages, Paris : L'Harmattan, 2001, p. 265, n° 21-1725 et 21-1726.
  38. ↑ Achille Deville, Histoire du château et des sires de Tancarville, éditeur : N. Périaux, 1834, Pièces justificatives, doc. I, p. 339-345 (confirmation de Philippe-le-Bel, texte latin et français, 18 novembre 1309) Voir le texte [archive].
  39. ↑ Jean Favier, Un conseiller de Philippe le Bel, Paris, Presses Universitaires de France, 1963, 256p.
  40. ↑ Achille Deville, Histoire du château et des sires de Tancarville, éditeur : N. Périaux, 1834, Pièces justificatives, doc. I, p. 339-345 (confirmation de Philippe-le-Bel, texte latin et français, 18 novembre 1309).
  41. ↑ Raymond Cazelles, Société politique, noblesse et couronne sous Jean le Bon et Charles V, Paris : Droz, 1982 ('coll. Mémoires et dcuments publiés par la Société de l'Ecole des chartes, 28), p. 161.

Sources

« Famille de Tancarville », sur Charles Cawley's Medieval Lands.

Bibliographie

  • Achille Deville, Histoire du château et des sires de Tancarville, éditeur : N. Périaux, 1834, 377 pages. Lire sur Google Books, (ouvrage publié, dit l'auteur p. 104, n.1., à partir des documents originaux du chartrier du château de Tancarville conservé aux Archives départementales de Seine-Maritime, fonds 1 ER 1 à 586 (voir le répertoire sommaire).
  • Tancarville : un château, un canal, un pont, toute une histoire..., PTC Éditions des Falaises, Rouen, 2008, 296 p. (ISBN 978-2-84811-071-4)
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